L’arrêt complet de l’activité pendant trois mois en 2020, plus la baisse d’activité globale, a tendu les rapports entre bailleurs et commerçants. La coiffure n’échappe pas au phénomène. La tentation de ne pas payer est forte mais très risquée. Explications.
Le seul défaut de la nouvelle équipe de la Haute Coiffure ? N’avoir qu’une seule femme… Heureusement, avec Constance Laporte, ce n’est pas n’importe laquelle !
Initiateur du hashtag #moncoiffeurapoil, Jean-Charles Gérard est aussi le patron d’un salon au Havre. Entre fermeture administrative et envie de bousculer les choses, il ne cache pas son tempérament rebelle et compte poursuivre ses initiatives.
Marine de Batz, arrivée en tant que directrice de marque Matrix courant 2020, poursuit la transformation de la marque en repensant sa distribution pour renforcer sa stratégie de proximité.
Mulato Cosmetics, c’est l’histoire d’une petite marque française devenue grande en jouant très tôt la carte du naturel. C’est aussi l’histoire d’une rencontre de deux associés qui a tout accéléré.
Cathy Batit est tombée amoureuse de la coupe dès sa rencontre avec le métier. Membre de l’équipe artistique Eugène Perma, elle cultive aussi la passion de la formation depuis 2009, quand elle n’est pas absorbée par le salon familial qui a accueilli quatre générations de sa famille. Audace, féminité et sensibilité estampillent son travail.
Profond, juste pour nuancer ou dans la lignée des techniques héritées du tie & dye, le balayage est l’un des symboles du savoir-faire des coiffeurs. Souvent trop stéréotypé, il doit être mieux personnalisé.
Les coupes ultra-courtes ou rasées pour hommes, après avoir juste été un cauchemar de coiffeur, sont devenues une tendance lourde qui connaît ses petits courants, remettant à l’honneur le travail des pros.
Mis en avant par le gouvernement, le click & collect est à nouveau sur le devant de la scène, même s’il peine à convaincre dans un métier de service comme la coiffure.
La digitalisation fait parfois peur. Elle est pourtant simple à mener si on gère bien ses priorités, comme nous l’explique Nicolas Savella, directeur commercial d’Ikosoft.
Les assurances perte d’exploitation ont été généralement inopérantes face à un événement exceptionnel comme la Covid, une pandémie suivie de fermetures administratives généralisées.
La coiffure à domicile a le vent en poupe. Et la crise sanitaire n’a fait qu’accélérer le phénomène auprès de bon nombre d’urbaines pressées ou stressées par la Covid.