C’est une première dans notre concours, Safa Jlass, la gagnante 2024, nous a présenté un dossier homme et quel dossier ! Pour une première, cela a été un coup de maître !
Transmettre, c’est aussi faire prendre conscience que le temps est un allié. Patrick Ahmed, créateur de Medley et du Community Hairdresser Spirit, enseigne à la jeune génération la patience, afin que chaque étape s’ancre parfaitement chez celui qui la reçoit.
Longtemps toisé par les majors français, Vitality’s a réussi en 30 ans à se faire respecter sans abandonner un fonctionnement à échelle humaine, devenu rare.
Le concours AIPP de la presse internationale a célébré, en partenariat avec L’Éclaireur, la créativité
des couleurs, élégantes ou extravagantes, et couronné Steven Smart.
À 36 ans, Joanne Cartier a déjà eu plusieurs vies. Hôtesse de l’air chez Emirates avant de passer par l’hôtellerie l’hôtellerie de luxe, elle a attendu de faire ses preuves dans d’autres domaines pour céder à son envie initiale, la coiffure.
Les faux reflets sont la hantise de tout coloriste. Il convient de dédramatiser, tout en sachant comment mieux les maîtriser en optimisant son fond d’éclaircissement.
Valoriser son fonds ne s’improvise pas. Bien l’évaluer, en permanence, est un bon moyen de tester la bonne marche du salon et de revendre au bon moment.
Ayedn est une application qui veut mettre en relation des barbers premium avec le public, afin de valoriser un savoir-faire qui s’est un peu dispersé au point que la satisfaction client chute.
L’enseigne continue de promouvoir un luxe à la française autour d’un développement de niche. « Luxe, calme et volupté » restant une formule qui fonctionne… si la qualité suit !
Après des études pour devenir opticienne et une expérience dans le retail, Laureen SChein s’est laissée aller, avec un succès certain, à une de ses passions, les cheveux bouclés !
Après s’être reconvertie dans la coiffure et avoir dirigé un espace barber, Mylène Louvin réalise un de ses rêves, monter son salon LeSharp dans un style à la fois tranchant et doux, à son image.
Souvent mal posée, comme une pseudo-discrimination pour les femmes ou les minorités de genre, la problématique de la tarification homme-femme doit-elle s’effacer ou simplement évoluer ?